Bonjour à tous !
Ça vous dit, un peu de douceur dans ce monde de brutes ? Je m'en doutais ! C'est pourquoi je vous propose aujourd'hui de découvrir deux sagas de mangas tout mignons. Si vous lisez plusieurs fois les termes 'mignons', 'douceur', 'attachant' dans cet article, j'en suis désolée, mais j'ai bien peur qu'il n'y ait rien de plus normal.
Bonnes découvertes à vous !
Je
pense ne pas trop m’avancer si je suppose qu’aucun de vous
n’irait volontairement vers une blatte ou un cafard. Votre réaction
oscillerait très certainement entre le dégoût, la peur, voire la
folie incontrôlée qui pousse soit à se jeter sur son lit, hors
d’atteinte, soit à jeter sur le pauvre insecte un chausson pour
l’écraser, ou encore mieux : les deux. Et je vous
comprendrais, car je ne serais pas tout à fait à l’aise non plus
(même si je soigne mon dégoût pour certains insectes ahah). Et
pourtant, il existe des blattes très mignonnes et tout aussi
attachantes qui n’espèrent qu’une chose : devenir amies
avec vous. Enfin… il en existe au moins une comme ça dans le monde
en tous cas, et son nom, c’est Gokicha.
Ce
petit insecte à l’allure enfantine va vivre mille et une petites
anecdotes dans sa quête vers l’amitié avec l’humain. Elle
croisera sur sa route quelques personnages qui deviendront pour
certains récurrents, comme son ami chat blanc par exemple. Tout
l’aspect divertissant des mangas proviennent de son caractère plus
qu’amical et naïf dont découlent quelques incompréhensions, de
sa part… et de celle des humains qu’elle aborde. Chaque tentative
est plus désastreuse que la précédente, mais Gokicha arrive tout
de même à toujours (ou presque) en tirer un enseignement qui la
fera avancer ? Mais attention, malgré tous ces déboires, ces
mangas sont loin d’être tristes ! Gokicha reste souriante,
marrante, elle continue de croquer la vie à pleines dents. Et puis,
on aperçoit aux détours de certaines pages un peu d’espoir, de
possibilités positives. Alors certes, on s’amuse fautivement de sa
naïveté et de ses problèmes, mais on s’attendrit aussi beaucoup
devant ses petites réussites.
Pas
de grande histoire ici, pas de suspens ou de rythme trépident. Juste
quelques mésaventures et beaucoup de douceur. Pour ceux qui ne sont
pas pressés.
Ma chronique sur le premier tome par ICI.
Gokicha tomes 2 à 4, de Rui Tamachi
Éditions Komikku, 120 pages environ le tome
--------------------------------
Avec
ses dessins colorés d’une luminosité incroyable, Dernière
heure nous entraîne dans un
monde où la douceur n’est présente qu’en apparence. En effet,
le Japon est en guerre, et alors que l’île isolée sur laquelle
est située l’école était jusqu’à présent hors d’atteinte,
au calme, le danger approche en même temps que les troupes
commencent à manquer d’effectif. C’est pourquoi il a été
décidé que chaque vendredi après-midi, un élève de l’école
rejoindrait les soldats pour se battre (après, j’ai quand même
trouver ça bizarre de le leur demander à eux, sachant qu’ils sont
trop jeunes pour faire quoi que ce soit, encore plus en un simple
après-midi). C’est donc cette guerre que nous allons suivre à la
fois par les yeux des enfants qui vont au front et de ceux qui
restent à l’école.
Malheureusement,
le premier tome est très lent. Vraiment très lent, et simplement
introductif. Je ne pourrai donc pas juger l’ensemble de la saga.
Néanmoins, on sent beaucoup de promesses pour les tomes suivants et
j’espère que les pistes amenées seront bien utilisées. L’univers
a par exemple l’air d’intégrer quelques éléments de
science-fiction, et j’ai vraiment envie de voir ce que ça pourrait
donner.
Une
mention spéciale pour les dessins qui dénotent très bien avec
l’ambiance sous-jacente que l’on ne fait que deviner pour
l’instant, l’histoire se centrant plus sur les amitiés entre les
écoliers pour l’instant.
De
ce que j’ai pu en voir, je dirais que malgré ses débuts
balbutiants, Dernière heure
peut cacher quelque chose de plus grand que j’ai hâte de
découvrir. J’espère simplement ne pas me tromper et que tout
arrivera à prendre un minimum d’ampleur au deuxième tome
(d’autant plus que la
saga ne contient que quatre tomes),
que je lirai pour sûr, ou je risque de décrocher.
Dernière heure tome 1, de Yu
Éditions Akata, 194 pages
J'espère que cet article vous a plu,
En attendant je vous dis
À très vite,
Coccinelle
Merci pour les découvertes :D je suis toujours en plein objectif "finir-des-mangas-avant-d'oublier-l'histoire-systématiquement", mais du coup je note celles-là pour quand j'aurai un nombre un peu plus acceptable de séries en cours ! x)
RépondreSupprimerJ'espère que dernière heure sera à la hauteur dans les prochains tomes !
Ah mais de rien ;)
SupprimerAhah, je comprends. C'est pour ça que je ne me lance en général que dans des petites sagas. Mais avec Gokicha je ne pense pas que tu auras de problème, comme il n'y a pas d'histoire à proprement parlé ^^
J'avais adoré le tome 1 de Dernière heure :) il faut que je continue la suite !
RépondreSupprimerJ'espère qu'il se passera un peu plus de choses dans la suite pour ma part.
Supprimer