samedi 10 février 2018

Le blog et moi - Tag: Si je devais écrire un livre

Bonjour bonjour !
En me promenant un peu, je suis tombée sur le tag 'Si je devais écrire un livre', créé par Dévolivre. J'avoue être de moins en moins fane des tags, mais celui-ci parlant écriture, et aimant moi-même écrire (vous l'aurez peut-être compris si vous avez lu mes autres articles d'écriture, avec notamment celui sur le Nanowrimo), je n'ai pas pu résister: il fallait que je le reprenne.
Le principe ? Tout bêtement: imaginer quel serait notre histoire, notre personnage, notre univers, si l'on écrivait un livre.

Comme j'ai commencé à en écrire un avec le Nanowrimo (il faudrait que je me bouge un peu pour le finir, d'ailleurs), je répondrai à chaque question pour le livre que j'écris (après le trait en orange) et un hypothétique livre qui n'existe pas encore et pour lequel je n'ai aucune idée (en vert). J'espère avoir été assez claire ^^'
Allez, c'est parti ! 

1. Quel genre de roman voudrais tu écrire ?
- Un roman pour adultes, avec des problèmes de société dans un monde 'dystopique'. Un mélange entre enquête/acceptation de soi/fuite.

- De la fantasy. C'est un genre qui peut permettre beaucoup de choses, que l'on reste attaché aux classiques ou que l'on s'éloigne des bases de la fantasy. Je pense qu'il y a de quoi faire. Et puis j'ai toujours été attirée par ce genre, donc ça tombe bien.
 
2. Héro ou héroïne ?
- Héro. C'est un personnage tellement éloigné de moi que j'ai du ressentir le besoin de l'éloigner physiquement le plus possible de moi aussi, je suppose.

- Héroïne. Pour la simple et bonne raison que, bien que les hommes et les femmes ne soient pas fondamentalement si différents que ça, je me sentirais plus à l'aise de partager les pensées d'une fille. 

3. Décris nous ton personnage principal.
- Un homme trentenaire, peau très blanche, cheveux blancs et yeux rouges. Son père est mort lorsqu'il était petit dans une manifestation pour les droits des paysans (en gros), sa mère l'a suivi quelques mois plus tard, tuée par les mains d'un commerçant qui voulait récupérer leur exploitation familiale. Ce commerçant, devenu un agriculteur important, a soumis à l'esclavage (je ne trouve plus le bon verbe) le personnage principal, jusqu'à ce que celui-ci arrive à s'enfuir dans la ville la plus proche. Depuis, il survit en jouant au Casino, froid, moqueur et manipulateur.

- Soit une jeune fille d'une dizaine d'année à peine, les cheveux longs et pleins de nœuds; soit une jeune femme entre vingt-cinq et trente ans, aux cheveux courts et à l'attitude un peu nonchalante. Elle serait du genre à ne pas vouloir attirer l'attention sur elle, par timidité, mais, à contrario, à rire avec bruit lorsqu'elle est entourée d'amis proches. 

4. Narration en Je ou en Il ?
- Un mélange entre les deux. 'Il' lorsque le narrateur est externe, avec parfois des 'je' dans la même phrase lorsque l'on partage tout à coup les pensées du personnages. Au présent, aussi.

- 'Elle'. Et au passé simple, sûrement, c'est plus simple je trouve pour départager ce qui est en cours d'action de ce qui arrive soudainement, etc. 

5. A quoi ressemblerait le méchant de l’histoire ?
- Un type imbus de sa personne, qui prend plaisir à voir les autres plus bas que lui sur l'échelle sociale et qui s'amuse à leur marcher sur les mains lorsqu'ils essaient de le rattraper. Il n'était pas méchant en soi à la base, les histoires de terres agricoles et de plantes empoisonnées n'étaient pas son idée au début, mais l'argent et le pouvoir lui sont montés à la tête. Ventripotent, il essaie de perdre du poids en faisant du sport, mais continue de manger tout ce qui lui passe sous la main. Sa seule faiblesse sentimentale est la jeune fille qu'il a adopté et que, on l'apprendra plus tard, est en fait sa véritable fille.

- Alors là... Peut-être une femme jalouse de la beauté du personnage principal et qui veut lui faire croquer une pomme empoisonnée. Je plaisante.
Peut-être les dirigeants de l'équivalent de la presse dans ce monde-là. Ce serait un média extrêmement utilisé et les dirigeants de celui-ci s'en serviraient pour manipuler les opinions de tous. Dans quel but ? Ça reste à trouver, mais il pourrait y avoir des histoires de racisme avec des créatures comme les gnomes ou que sait-je encore.

6. Ton histoire se passe dans le passé, dans le présent ou dans le futur ?
- Plutôt dans le futur. En fait, ça ne se passe pas dans notre monde, donc c'est difficile de juger, mais au vu de la technologie (implants, robots, etc.), je dirais futur.

- Encore une fois ni l'un ni l'autre. Dans la fantasy, l'histoire prend souvent place dans le 'passé' (châteaux, rois, etc.), mais je ne sais pas si c'est obligatoire par rapport au genre ou non. En tous cas, j'aimerais placer les événements dans quelque-chose de plus récent, genre présent

7. Ton histoire se passerait dans un pays existant ou dans un pays imaginaire ?
- Imaginaire dans les deux cas. Étant donné que j'ai envie (pour l'instant, je n'exclue par le fait d'avoir envie de parler de vrais personnages un jour, dans un vrai pays) d'inventer des objets, des personnages, des lieux, et de ne pas avoir à m'en faire pour l'exactitude de ce que je raconte, je préfère largement dans un pays imaginaire. Surtout si l'on veut pouvoir parler de problèmes actuels ou de société, c'est plus facile de la faire sous couvert d'imaginaire. Parler de politique dans tel ou tel pays existant est bien plus délicat que dans un lieu qui n'existe pas.

8. Y mettrais-tu une histoire d’amour ?
- Non, car le personnage n'a pas du tout ces envies-là. Il est surtout en recherche d'amitié, et il en trouve assez auprès du jeune homme et de la gamine qui l'accompagnent. Mais je n'ai pas encore écrit la fin, donc je ne sais pas ce qu'il va se passer. La soeur de son compagnon d'infortune pourrait bien avoir le béguin. Ce n'est pas impossible. Pour l'instant, il découvre l'amitié et c'est déjà bien.

- Je ne pense pas. Je ne suis pas forcément à l'aise avec l'idée d'écrire des histoires d'amour, d'autant plus que je ne suis pas certaine d'arriver à la faire venir naturellement. Si cela se présente, peut-être bien, mais autrement non.

Et voilà !
J'espère que ce petit tag vous aura plus. N'hésitez pas à le reprendre, je me suis vraiment amusée à le faire et je serais curieuse de voir ce que donnerait votre livre.
N'hésitez pas non plus à me dire ce que vous pensez de ces deux histoires ^^

En attendant, je vous dis:

À très vite,
Coccinelle

4 commentaires:

  1. Trop hâte de lire une de tes histoires alors, j'adore les sujets que tu aimerais évoquer :)

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    1. Je saurai à qui proposer de les lire lorsqu'il me faudra des lecteurs test, alors ;) Merci ^^

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  2. Pareil pour moi, je préfère l'imaginaire. J'adore inventer des lieux, des concepts et sortir du cadre de la normalité en y incorporant un peu de mague et pouvoirs. Le worldbuiling dans l'écriture est ce que je préfère ^-^
    C'est rare que les histoires d'amour ne soient pas présentes dans les romans, ça change. Dans mon roman en cours, j'en ai mis. J'ai essayé de m'éloigner des schémas qui reviennent souvent :)

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    1. Complètement d'accord. Et puis c'est assez marrant d'imaginer SON monde (même si l'on y intègre souvent des éléments déjà vus ailleurs), avec sa propre construction, sa propre histoire et son propre fonctionnement. J'ai du écrire une dizaine de pages sur mon univers et mes personnages je crois ^^

      Si l'histoire d'amour est justifiée et bien amenée, ça ne me dérange pas, au contraire, c'est parfois utile pour faire souffler l'ensemble. Mais quand c'est mis là comme ça histoire de, je trouve ça un peu dommage. Donc si tu t'en es éloigné, c'est bien :)

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